Chez le sportif, la complémentation en fer n’est pas une option, ses besoins étant accrus de 15% à 35% par rapport à ceux de la population moyenne.La déficience en fer est d’ailleurs l’une des plus fréquentes chez les athlètes, qui l’assimilent généralement moins. Ajouté à cela, l’augmentation du débit sanguin en activité intensive peut engendrer des ondes de choc qui altèrent les globules rouges, provoquant une moindre absorptiondu précieux minéral, qui est alors éliminé.
La déshydratation et la transpiration excessive peuvent également accélérer sa fuite.Le déficit se traduit irrémédiablement par une baisse de performance et une fatigue marquée.