Dans le cadre des régimes pour perdre du poids, le premier réflexe est souvent de retirer les graisses de son alimentation. Leur charge calorique étant supérieure à celle des protéines et des glucides, la démarche semble logique. Pourtant, si l’intention est bonne, les résultats, eux, risquent de ne pas être au rendez-vous.
Le pouvoir des bonnes graisses
Comme pour les protéines et les glucides, il y a différentes catégories de graisses. Les acides gras trans, les graisses saturées, les graisses insaturées, qui elles aussi ont leurs propres sous catégories. La généralité veut que nous puissions distinguer les bonnes graisses des mauvaises, afin de ne commettre aucun impair, tant pour les objectifs que l’on s’est fixés que pour le maintien de notre santé. Le corps fonctionne comme le moteur d’une automobile. S’il n’est pas correctement huilé, il finira par ne plus fonctionner correctement. Pour cette raison, pensez à apporter à votre moteur son quota de bonnes graisses, notamment en oméga 3. Essentiellement concentrés dans les poissons gras, les oméga 3 permettent de réguler les phénomènes inflammatoires, rendent les cellules musculaires plus sensibles à l’insuline, et améliorent leur capacité à oxyder les graisses. Ils sont également essentiels au maintien du système nerveux central. Pour être en forme et mieux brûler les graisses, pensez à consommer au moins 3 à 6g d’oméga 3 par jour, surtout si vous suivez un régime pauvre en glucides.